Pleure ô pays bien aimé. Le titre du roman d’Alan Paton prend un sens bien différent à la mort de Nelson Mandela, par rapport aux heures sombres du début de l’apartheid où son auteur l’écrivit. Si aujourd’hui le pays pleure, il est réconcilié dans sa tristesse, par la grâce d’un homme dont les maîtres mots furent vérité et réconciliation, liberté et égalité, grandeur et humilité.
Un exemple qui continuera à inspirer, un exemple qu’il faudra continuer à promouvoir auprès des jeunes générations. C’est pourquoi je m’associe à la proposition de Jacques Kossowski, député-maire de Courbevoie, de baptiser l’un de nos espaces publics du nom de Nelson Mandela.
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